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Page:Aimard, Auriac - L’Aigle-Noir des Dacotahs.djvu/187

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les drames du nouveau-monde

— Fatigué ! moi, fatigué ! voilà qui est fort ! jamais je n’avais entendu parler de ça…

— Mais le cheval doit être las : le voyage a été rude par cette nuit de tempête.

— Mon cheval, las ! voilà qui est encore plus fort ! Quand arrivera cette étrange aventure que Star soit las, je vous prendrai sur un bras, lui sur un autre, et je vous porterai tous deux.