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Page:Aimard - Les Aventuriers, 1891.djvu/191

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couper des queues de palmistes nommées taches et à planter des pieux pour faire l’ajoupa sous lequel serait tendue la tente de campement pour la nuit.


— Oh ! l’Olonnais, cria-t-il ; viens ici, je crois que nous avons trouvé ton affaire.

— Vous voyez, continua l’engagé, que mon compagnon s’est déjà mis à la besogne ; ainsi adieu, à demain, je n’ai pas le temps de causer davantage, il me faut l’aider à établir le boucan.

— Faites à votre guise, mais je suis persuadé que vous avez tort de compter sur le succès de la commission dont je veux bien me charger.