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Page:Aimard - Les Chasseurs d’abeilles, 1893.djvu/229

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LES CHASSEURS D’ABEILLES


Ils prirent le corps de don Fernando, le mirent en travers sur le cou d’un de leurs chevaux.

— Je vous remercie, colonel, votre conseil est excellent ; je ferai tous mes efforts pour déterminer don Pedro à le suivre. À bientôt, j’ose encore me flatter qu’une démonstration énergique de votre part nous débarrassera de nos féroces ennemis, qui ne tentent jamais que des surprises et qui, dès qu’ils s’aperçoivent que leurs projets sont découverts, disparaissent avec autant de rapidité qu’ils sont venus.