Aller au contenu

Page:Aimard - Les Chasseurs d’abeilles, 1893.djvu/301

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.
297
LES CHASSEURS D’ABEILLES


Une détonation terrible se fit entendre, le géant de pierre oscilla sur sa base.

Lorsqu’ils furent revenus de leur stupeur, ils aperçurent les cavaliers qui les avaient si fort maltraités, dans deux barques sur le fleuve et faisant force de rames dans la direction de l’hacienda de las Norias. Estevan et ceux qui l’avaient suivi étaient sauvés, trois ou quatre à peine étaient tombés en route.

Le major avait profité de la charge exécutée par les cavaliers pour se jeter