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Page:Aimard - Les Peaux-Rouges de Paris II.djvu/442

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Elle vit la Mexicaine traverser la cour, sortir et monter dans une voiture de remise qui stationnait devant le guichet.

Dès que la jeune femme fut montée, la portière fut brusquement fermée de l’intérieur et le cheval partit à fond de train.

Au même instant, un horrible cri d’agonie traversa l’espace.

Tous les domestiques de l’hôtel s’étaient élancés effarés au dehors.

— Mon Dieu ! s’écria la comtesse avec angoisse, la pauvre femme aurait-elle donc dit vrai ? Oh ! ce serait trop horrible !

Et elle s’affaissa à moitié évanouie sur un fauteuil qui, heureusement, se trouva par hasard derrière elle.


FIN DU TOME DEUXIÈME