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Page:Aimard - Les Trappeurs de l’Arkansas, 1858.djvu/413

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fuite qui m’avait donné tant de peine à élaborer !

Les fugitifs se jetèrent dans un renfoncement des rochers afin de ne pas être aperçus, et ils attendirent, le cœur palpitant, le débarquement des arrivants, dont les manœuvres leur paraissaient de plus en plus suspectes.