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Page:Aimard - Les invisibles de Paris, 1893.djvu/141

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La Pacline trouva une pauvre petite créature abandonnée sur un monceau de détritus.

La porte s’ouvrit.

Il entra, et la referma.

Il était chez lui.

Son premier soin, une fois la porte fermée et les verrous poussés, fut de s’étendre tout de son long dans un vieux fauteuil en bois peint, garni de velours d’Utrecht, qui se trouva là tout exprès pour le recevoir.