Aller au contenu

Page:Aimard - Les invisibles de Paris, 1893.djvu/233

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.


Tout près de cette embarcation gisaient quatre hommes sans mouvement.

— Oui.

— Je vous tue, voilà tout.

Et ce disant, le montero se précipitant à corps perdu sur l’homme auquel il tendait ce piège infâme, le frappa de deux coups de poignard dans la direction du cœur.

La pointe de l’arme rencontra deux fois un épais portefeuille garni de lettres et de papiers d’affaires.