Aller au contenu

Page:Aimard - Les invisibles de Paris, 1893.djvu/321

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.


La bohémienne me demanda du pain, je lui donnai le dernier biscuit qui me restât.

— Quoi ?

— Votre histoire.

— Mon histoire… Vous dites bien, sans vous en douter, car c’est justement l’histoire de ma vie que je vais vous raconter.

— Rosette ! s’écria Pâques-Fleuries.

— Laisse-moi parler, toi… ce que je vais raconter ne te fera pas de tort dans l’opinion de ces messieurs.