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Page:Aimard - Les invisibles de Paris, 1893.djvu/369

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— Si vous bougez, j’enfonce ce couteau jusqu’où manche.

— Vous aurez la plus belle, monsieur le comte.

— Bien… Ah ! monsieur Dubuisson, une prière… Pas un mot de ma fortune au baron de Kirschmark…

— Ce que j’en connais…

— N’est pas grand-chose, répliqua le comte avec un sourire ; vous m’obligerez même, au besoin, en colorant cette demande, ce retrait de fonds, à l’aide du prétexte d’une gêne momentanée.