Aller au contenu

Page:Aimard - Les invisibles de Paris, 1893.djvu/377

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

massives, au large poitrail, haut de croupe et tout prêt à ne pas laisser augmenter d’un pied la distance réglementaire qui devait toujours exister entre lui et ses deux compagnons d’écurie.


Toutes ses lettres lues, le comte dit, sans se tourner vers lui…

Le suisse, en grande livrée, se tenait, grave et digne, debout devant la grille.

Le comte fit un signe.