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Page:Alain-Fournier - La Femme empoisonnée, 1944.djvu/19

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due, sous cette pèlerine de pauvresse, tu es venue vers moi ! Et je n’ai pas su te trouver à temps : il ne reste que cette pourriture à embrasser, sur la peau fine dans le creux autour des yeux, et sous le cou, et sur la bouche que le mal de mort a raidie et ouverte comme pour rire.


Janvier 1909