Aller au contenu

Page:Albanès,Les mystères du collège,1845.djvu/90

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

Le repas est fini, tous les élèves se précipitent vers la porte d’entrée, le pion seul reste en place, debout, et ne peut démarrer. Qu’a-t-il donc ? Le pauvre diable avait une jambe attachée au pied d’une table au moyen d’une forte corde. Jamais rage de pion ne fut plus effroyable, jamais rire de collégiens ne fut plus superbe !

Nous l’avons dit tout à l’heure, une petite vengeance couvait en faveur du pion.