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Page:Alexis - La Fin de Lucie Pellegrin, etc, 1880.djvu/290

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IX

Paris, 21 septembre.

Je sors de chez elle. Je l’ai vue. J’ai passé l’après-midi avec elle.

Il était deux heures. Ayant déjeuné à mon hôtel, je prenais un mazagran au café Riche. Depuis que je suis à Paris, je renvoyais de jour en jour ma visite à Hélène. Tout à coup :

— Garçon, de quoi écrire !

Et j’écrivis sur une de mes cartes :


« Ma chère Hélène,

« Ici depuis dix jours. Voulez-vous me recevoir ? Demain, je me présenterai chez vous vers trois heures. — Votre vieil ami. »

Puis je mis ma carte sous enveloppe, j’écrivis l’adresse et, en payant ma consommation, je demandai