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de la France[1]. Je rappelai à mon tour que l’on employait alors fréquemment le latin dans les inscriptions. Ce fut un trait de lumière, et M. de Lonpont s’écria aussitôt : Il faut lire
VINCIT
IN
BELLO
IN
BELLO
Le doute n’était point permis.
Cette médaille avait donc brillé sur la poitrine d’un soldat, d’un guerrier français à qui la patrie rendait ce témoignage solennel : VINCIT IN BELLO, Il est brave à la guerre !
L’émotion me gagne en écrivant ces lignes, et c’est par elles que je veux terminer. Notre prochain rap-
- ↑ Voy. Les Pharaons, les Sésostris et les Poléons, rapprochements historiques, p. 209.
