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Page:Allais - Amours, délices et orgues.djvu/135

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NÉFASTE— PARFOIS

plaise à tout le monde ; il sera même très âprement discuté dans les milieux littéraires ; mais nul ne songera à en discuter la curieuse et fertile tendance :

Nous nous étalons
Sur des étalons,
Et nous percherons
Sur des percherons !
C’est nous qui bâtons,
À coups de bâtons,
L’âne des Gottons
Que nous dégottons !…
Mais nous l’estimons[1]
Mieux dans les timons.

Un joli couplet sur l’amour brutal :

Nous nous marions
À vous Marions
Riches en jambons.
Nous vous enjambons
Et nous vous chaussons,
Catins, tels chaussons !

  1. L’âne, bien entendu.