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Page:Allais - L’Affaire Blaireau.djvu/121

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— Contez-nous cela, baron !

Et toute cette jeunesse battit des mains.

— Imaginez-vous, mesdemoiselles…

(Pour la suite, voir plus haut.)

Quant à Jules Fléchard, c’est dans un rêve étoilé qu’il se rendait au parquet, murmurant :

— De quelle voix elle m’a dit : Au revoir ami, et bon courage !