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Page:Allais - L’Arroseur.djvu/67

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L’ARROSEUR

ou des frisons blonds, étaient les plus délicieusement émus au récit de ces aventures guerrières.

Toute la semaine, bandeaux et frisons rêvèrent du beau vitrier.

Les deux femmes écoutaient ravies.

Gertrude, elle, n’y put tenir, et, le mardi suivant, pan ! un coup de coude dans le carreau.

— Madame, j’ai encore cassé un carreau.

— Mais, ma pauvre fille, comment faites-vous donc votre compte ?

J’en ai pas fait exprès, madame.

— Il ne manquerait plus que ça !

— C’est en me retournant, avec ma castrole.

— Eh bien ! il faudra faire monter le vitrier.

— Bien, madame.