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Page:Allart - L Indienne.djvu/156

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dienne, ses cheveux si noirs, ses yeux si doux, sa beauté parfaite, les ornemens de son salon qui venaient de Surate et de Cambaye :

« La société ici est montée sur un grand ton et vous plairait ; c’est autre chose que ce qu’on voit dans les Indes. Si nos maris nous quittent trop souvent pour les affaires, les jours où nous pouvons les réunir avec leurs amis n’en sont que plus charmans. Tous nos hommes d’affaires ne sont pas également graves, et nous avons la jeunesse des communes qui ne nous abandonne pas. Quelques femmes de ma société vous charmeraient ; vous aimeriez nos enfans, mêlés toujours à nos plaisirs ; nos filles si belles et si naturelles. »

Alors elle parla de ses enfans : l’aîné,