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Page:Allart - L Indienne.djvu/252

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et la prospérité nationales. Pour toutes ces raisons, je vous prie et vous conjure de ne pas rejeter ce bill ; j’en appelle à vous par tout ce que vous avez de plus cher, par tout ce qui lie chacun de vous à notre pays et à notre ordre commun (à moins que vous ne soyez résolus contre tout changement, car alors votre refus sera conséquent), je vous supplie, je vous adjure solennellement, je vous implore à genoux, Mylords (pliant légèrement son genou sur le sac de laine), pour que vous ne rejetiez pas le bill. »

Ce discours, suivi de glorieux applaudissemens, laissa une longue agitation dans la Chambre ; plusieurs des pairs, que lord Brougham avait rendus ridicules, étaient pâles et consternés ; d’autres disaient qu’il avait manqué à