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Page:Anatole France - La Révolte des anges.djvu/426

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Chapitre VIIIOù il est parlé d’amour ; ce qui plaira, car un conte sans amour est comme du boudin sans moutarde, c’est chose insipide. 
 66
Chapitre IXOù il apparaît que, comme l’a dit un vieux poète grec, « rien n’est plus doux qu’Aphrodite d’or ». 
 79
Chapitre XQui passe de beaucoup en audace les imaginations de Dante et de Milton. 
 85
Chapitre XIComment l’ange, vêtu des dépouilles d’un suicidé, laissa le jeune Maurice privé de son céleste gardien. 
 100
Chapitre XIIOù il est dit comment l’ange Mirar, en portant des grâces et des consolations dans le quartier des Champs-Elysées, à Paris, vit une chanteuse de café-concert, nommée Bouchotte, et l’aima. 
 111
Chapitre XIIIOù l’on entend la belle archange Zita exposer ses superbes desseins, et où l’on voit les ailes de Mirar mangées aux vers dans un placard. 
 122
Chapitre XIVQui nous fait paraître le Kéroub travaillant au bonheur de l’humanité et se termine d’une manière inouïe par le miracle de la flûte. 
 133
Chapitre XVOù l’on voit le jeune Maurice regretter jusque dans les bras d’une amante son ange perdu, et où nous entendons M. l’abbé Patouille repousser comme abus et vanité, toute idée d’une nouvelle révolte des anges. 
 149
Chapitre XVIQui met tour à tour en scène Mira la Voyante, Zéphyrine et le fatal Amédée, et qui illustre, par l’exemple terrible de M. Sariette, cette