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Page:Anatole France - M. Bergeret à Paris.djvu/110

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M. Bergeret posa le feuillet sur sa table. Il avait terminé sa lecture.

— Ces vieux livres, dit-il, amusent et divertissent l’esprit. Ils nous font oublier le temps présent.

— En effet, dit M. Goubin.

Et il sourit, ce qu’il n’avait point coutume de faire.