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Page:Anatole France - M. Bergeret à Paris.djvu/86

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VII


M. Bergeret aimait et estimait hautement les gens de métier. Ne faisant point de grands aménagements, il n’avait guère occasion d’appeler des ouvriers ; mais, quand il en employait un, il s’efforçait de lier conversation avec lui, comptant bien en tirer quelques paroles substantielles.

Aussi fit-il un gracieux accueil au menuisier Roupart qui vint, un matin, poser des bibliothèques dans le cabinet de travail.

Cependant, couché à sa coutume, au fond