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die de Casine[1], & que cette autre qu’il décrit dans la Comédie du Phantôme[2].
Elle tremble, & sur lui roulant des yeux hagards,
Quelque-tems sans parler laisse errer ses regards,
Mais enfin sa douleur se faisant un passage,
Elle éclate en ces mots, que lui dicte la rage, &c.
Puis, dans le même Poëme, en faisant parler le Marguillier Sydrac à ceux qui ont peur du hibou caché dans le Lutrin.
Croyez-moi, mes enfans, je vous parle à bon titre,
J’ai, moi seul, autrefois, plaidé tout un Chapître,
Et le Barreau n’a point de monstres si hagards,
Dont mon œil n’ait cent fois soutenu les regards.
- ↑ Casin. act. 2. sc. 5. v. 17. où le valet Olimpio en se plaignant de sa maîtresse qui s’emporte, dit : Nunc in fermento tota est, ita turget mihi.
- ↑ Mostel. Act. 3. Schen. 2. v. 10 où le vieillard Simon, en parlant de sa femme qui fait le diable au logis, dit : Tota mihi turget uxor, nunc scio domi.