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Page:Andry de Boisregard - De la Génération des vers, 1741, tome I.djvu/31

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sans qu’il y en ait aucun de l’autre, &c.

Ce Ver est sorti noué ; (D) je le conserve en cet état dans de l’eau-de-vie. Le Malade se trouva guéri peu après l’avoir rendu.

Quelques Médecins ayant vu l’estampe de cet insecte, que je fis aussi-tôt graver, traiterent la chose de fable ; d’autres ayant vu le Ver même, firent courir le bruit que j’avois chassé du corps d’un Malade un Ver monstrueux, qui ne s’étoit jamais vu. Les uns & les autres se sont également trompés. J’avertis les premiers que je garde l’insecte en question, avec un grand nombre d’autres de même genre, que j’ai depuis fait sortir, la plûpart encore plus longs, & dont je donne la figure dans cette nouvelle édition. Ainsi