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Page:Andry de Boisregard - De la Génération des vers, 1741, tome I.djvu/52

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cin de Padoue. Je réponds à M. Lemery dans le quatorzième Chapitre. Quant au second, je me contente de rapporter simplement sa critique à la fin de ce Livre, parce qu’elle ne mérite pas d’autre réponse. A l’égard de M. Valisnieri, ce qu’il dit roule principalement sur le Tænia ; mais ses objections nous ont convaincus, qu’il n’a jamais vu de ces sortes de Vers, ni vivans, ni avec la tête. Aussi ne paroît-il nullement au fait de cette matiere. C’est pourquoi nous avons cru qu’il étoit plus à propos de ne lui point répondre du tout.

Il dit que ce que je prends pour la tête de ce Ver, n’est apparemment qu’une glaire & un mucilage. Mais il décide au hasard, puisqu’il parle de ce qu’il n’a point vu, & dont il n’y