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Page:Anet et Muhammad - Les 144 Quatrains d’Omar Khayyam, 1920.djvu/12

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des grâces poétiques équivalentes à celles du poème persan, ils ont dans l’aventure laissé perdre des beautés en échange desquelles ils ont peu à nous offrir. La traduction célèbre à tant de titres de Fitz-Gerald n’échappe pas à ce reproche. Voici un quatrain de Khayyam traduit par le poète anglais :


And if the Wine you drink, the Lip you press,
End in what all begins and ends in — Yes ;
Think then you are To-day what Yesterday.
You were. — To Morrow you shall not be less.

F. G., XLII.
Ed. 1889.


M. Roger Cornaz à son tour interprète Fitz-Gerald qui périphrase de loin Omar Khayyam.