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Page:Anet et Muhammad - Les 144 Quatrains d’Omar Khayyam, 1920.djvu/43

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La rose dit : « Rien n’est plus beau que mon visage. — Pourquoi faut-il que le parfumeur me torture ? » — Le rossignol répond : — « Qui n’a ri un jour et n’a pleuré un an ? »


46.
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J’ai vu un vautour sur le toit du palais à Thous, — tenant entre ses serres le crâne de Kaï-Kaous. — Il disait à ce crâne : « Hélas ! hélas ! — où sont les timbales sonores et les appels des trompettes ? »


47.