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Page:Anet et Muhammad - Les 144 Quatrains d’Omar Khayyam, 1920.djvu/57

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Près d’un ami à la taille de cyprès et frais comme une gerbe de roses, — ne lâche pas la coupe et le pan de ta robe rempli de roses, — avant que le vent de la mort, soudain, — ne déchire la robe de ta vie et celle de la rose.


74.
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Ce passage dans le monde sans vin et sans échanson, ce n’est rien. — Sans le chant doux de la flûte de l’Irak, ce n’est rien. — À ce que je vois, entre les choses de ce monde, — seules ont du prix la joie et la fête. Le reste n’est rien.


75.