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Page:Anet et Muhammad - Les 144 Quatrains d’Omar Khayyam, 1920.djvu/82

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De notre venue en ce monde, de notre départ, quelle est la cause ? — Cette vie qui est tissée pour nous, quel espoir devant elle ? — Sous le poids de la Roue, les âmes de tant d’hommes purs — brûlent et deviennent cendres. Mais je ne vois pas leur fumée.


124.
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Il est des gens qui discutent sur la religion. — D’autres hésitent entre le doute et la certitude. — Un héraut surgira à l’improviste et dira : — « Ignorants, le chemin n’est ni celui-ci ni celui-là ! »


125.