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Page:Annales du Musée Guimet, tome 21.djvu/485

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HÂ 52 (SP. 51)




Les formules en prose qui composent ce Hâ et qui sont intercalées entre les deux dernières Gâthas forment comme un appendice ou une paraphrase à l’avant-dernière stance du Hâ précédent. Cette stance termine par le vers :

Mazdao dadât Ahurô tém vanuhîm yâsâ ashîm

« Mazda Ahura a créé Ashi Vanuhi : je l’implore de lui » ; autrement dit, je demande en retour de ma vertu les biens de la fortune, Ashi vanuhi étant « la Richesse qui vient de l’honnêteté » (turânikih min frârânih, LX, 4 = Sp. LIX, 7). Ce Hâ est une longue formule de bénédiction appelant sur le fidèle ces biens d’Ashi, et le Vispéred XX définit exactement ce Hâ « la récompense, la santé, les remèdes, l’agrandissement, l’accroissement, la force de victoire qui se trouvent entre la Gâtha Vohukhshathra et la Gâtha Vahistôishti ».

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Le Zôt et le Râspi :

Yathâ ahû vairyô : Le désir du Seigneur est la règle du bien, etc.

Le Zôt seul.

1. Sur les bons, hommes et femmes, de toute la création du bien[1], pré-

  1. vanbuca vanhuyàosca (J2, K2)… stôish : le premier adjectif est le thème nu du