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Page:Anonyme - Le roman d'Aquin ou La conquête de la Bretaigne par le Roy Charlemaigne.djvu/275

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notes et corrections

s’est éloignée du Bidon, en se rétrécissant. Les terres noires cultivées qui l’en séparent actuellement étaient au XIIe s. des marécages. Ces détails ont pour but de faire saisir l’exactitude de la mise en scène d’Aquin. (Cf. pour la géog. des mar. de Dol au M. A. Essais de géographie féodale, de M. A. de la Borderie. — Régaire de Dol. — Soc. Arch. d’Ille-et-Vilaine, 1862, p. 152 et stes, et p. 204.)

V. 785. — L’auteur semble par un jeu de mots établir quelque rapport entre le nom de Doreit et le donjon d’Oreigle — peut-être le scribe a-t-il confondu Oreigle avec le nom voisin de Dorlet, château dépendant de Gardoine et appartenant à Doreit.

V. 788. — Alexandrin. Quar il, ms. quil.

V. 801. — Alexandrin. L’emploi du futur ferai donne à la phrase une tournure plus polie. Cf. Burguy, II, 234.

V. 804. — Compaigne, ms. compaignie.

V. 808. — Payen, ms. paayen.

V. 809. — A ung poignent, ms. a ungs.

V. 811. — Hoës, ms. Hois.

V. 812. — Ms. desus la bouche lui fiert esree.

V. 817. — N’escu, ms. ne escu.

V. 822. — Que il, ms. qu’il.

V. 824. — Feure N. F. « pour fourreau. » Aceré, ms. aseré. — Vers faux.

V. 825. — Sevré, ms. servé.

V. 832. — Et ce Ohès s’est, ms. et se Ohès c’est.

V. 835. — S’ung soul, ms. si ung soult.

V. 838. — Soucié, lire : soucïé, ce mot faisant trois pieds et y a un seul.

V. 843. — L’en, lire : lors en a, (alexandrin.)

V. 851. — Alexandrin.

V. 853. — Que il, ms. qu’il.

V. 861. — [...] L’addition de A semble indiquée.