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Page:Arjuzon - Une seconde mère, 1909.djvu/189

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LE MONT SAINT-MICHEL.

nière fois, Mlle Virginie, à qui Mme de Hautmanoir acheta encore quelques jolis objets de dentelle dont elle se proposait de faire des cadeaux. La pauvre infirme était ravie, elle n’avait jamais connu d’aussi belles aubaines. Nos voyageurs promirent de revenir une autre fois et l’on se sépara enchantés les uns des autres.

Le Père Paterne.

Je prierai notre grand saint Michel pour vous et pour vos petits-enfants, madame la Baronne.

Mme de Hautmanoir.

Oh ! oui, mon père. En ce moment, plus que jamais, nous avons besoin de vos prières, car j’ai demandé une grande grâce à saint Michel.

Veuillez accepter ceci pour vos bonnes œuvres. (Et elle lui remit discrètement une somme assez ronde.)

Jacques et Gina.

Au revoir, mon Père, nous n’oublierons jamais toutes vos bontés pour nous.

Le Père Paterne.

Chers enfants ! À bientôt, n’est-ce pas ? À bientôt…

Et l’on se salua une dernière fois.