Aller au contenu

Page:Arjuzon - Une seconde mère, 1909.djvu/195

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.
183
UN GRAND PARTI.

Le lendemain, Jacques arrive dans la salle d’études pour prendre, avec Gina, son petit déjeuner du matin. Ils sont seuls.

Gina.

Mais quelle figure tu fais, Jacques, es-tu malade ?

Jacques, sombre.

Ce ne serait rien que cela !

Gina, interdite.

Comment ! Pourquoi ?

Jacques.

Il se passe, ma pauvre Gina, des choses épouvantables.

Gina.

Ah ! mon Dieu, tu me fais peur.

Jacques.

Eh ! oui, que veux-tu ! c’est ainsi.

Gina.

Qu’y a-t-il, enfin ?

Jacques.

Tu veux le savoir ?

Gina, d’une voix tremblante.

Oui, certes.