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Page:Arnaud - De la frequente communion, 1643.djvu/450

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H0w.17Anc.1o. les eaux diuincs dcla parole Dieu. Et enfn, que les A *d Heh‘ chofes Saimes nestans que pour les Saints ; tous ceux qui ne ſont pas Saints ſe doiuent retirer de cet Auteſ 0 que pour prendre la bardieffe de s’en approcher, il ne faut pas feulement estre deliurédes Pechez, mais qu’il est nécejfatre d estre ornédes richejſcs des bonnes œuures.

Est-ce estre de vostre advis, que d’asseurer, comme Saint Augustin fait en cent endroicts, (...) ?

a zp.ioî.Hom. Que tous ceux qui ſont a Penitence des Pechez b 1Hom.fo°.’&C mortels ſont retranchez de ï A utel, Qujls b doiuent eux-mefmes estre leurs Iuges pour fe prononcer cet c serm. de Tewp. Arrest 3 Que c le moyen de ſe deliurer de l’etcr- ìjì. & Hom. so. neUe excommunicatjon qui les menace, c’est des’excommunier en terre pour quelque temps. Que d ceux qui ne le Veulent pas faire , 0 ne peuuent foujfrir a’estreexclus du SanóluaireVistble, doiuent craindn e tf. n8. d estre exclus du Santtuairc inuistble. Quee c estproprement Communier indignement, que de Commuf serm. de Temf nieY aH temps oùl’on doit faire Penitence. fEt enfin, ls1’ Que toute perſonne ,qui trouue ſa conſcience blejstede quelque Peché mortel,doit auoirſoin delapuristerpar lesprieres, par lesjeuſnei, 0par les aumofnes auant que de Communier ?

Que si ces deux peres ne disent rien qui ne vous condamne, les deux autres n’ont garde d’estre pour vous, puis que S Anselme, ou plustost Herveus que vous avez pris pour S Anselme, n’est que le perpetuel disciple de S Augustin ; comme Theophylacte de S Chrysostome.