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Page:Artaud - La Petite Poste dévalisée.djvu/4

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n’est qu’à la fin de la lecture, qu’on s’apperçoit au timbre, que ce paquet a dû être oublié par quelque Facteur ivre. On se regarde ; … que fera-t-on ? On ne peut plus les remettre au Bureau. Les brûler !… elles ont amusé ; elles peuvent en amuser d’autres. Oui, dit l’un de nos extravagans, il faut les faire imprimer, c’est le seul moyen qui nous reste de les faire parvenir à leurs adresses.