Aller au contenu

Page:Asselineau - Vie de Claire-Clémence de Maillé-Brézé, princesse de Condé, 1628-1694, éd. 1872.djvu/117

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

bandon, se soit tout à coup démentie à quarante ans passés par une foiblesse que la disproportion d’âge entre elle et son amant présumé rend presque ridicule. Car, si nous n’avons pour preuve à l’appui de la faute de Mme la Princesse que les assertions un peu légères de Mme de Sévigné et de son cousin, et une pièce anonyme tirée du recueil de toutes les médisances et de toutes les calomnies rimées du siècle, n’en est-ce pas une à sa décharge que l’âge de Rabutin, de cet enfant trouvé trop jeune pour le service d’un prince, et qui l’étoit en effet, puisqu’il n’avoit que