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Page:Asselineau - Vie de Claire-Clémence de Maillé-Brézé, princesse de Condé, 1628-1694, éd. 1872.djvu/132

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heure (1677, six ans après la catastrophe) on dit qu’elle se promène ; mais elle est comme gardée, avec peu de gens. » Saint-Simon ajoute qu’elle étoit gardée de telle sorte qu’elle ignora toujours la mort de M. le Prince, son mari ; et qu’après cette mort les rigueurs ne diminuèrent point. M. le duc fut aussi bon geôlier de sa mère que M. le Prince l’avoit été de sa femme.

Ne quittons pas Saint-Simon : on sait quel portrait il a laissé de ce fils, et ce qu’il a dit de son avarice, de ses perfidies, de ses rapines, de sa bassesse, de ses extravagances endiablées : « Fils