notre division, et pour toutes les maisons d’aliénés en général, tient le milieu entre celui des hôpitaux et celui des prisons. En effet, les individus qui s’y trouvent mènent une vie qui a beaucoup d’analogie avec celle des détenus, en même temps que, comme dans les hôpitaux destinés au traitement des maladies aiguës, ils y apportent avec eux des chances de mort, dues aux désordres cérébraux qu’ils présentent.
Suivant M. Villermé, la mortalité moyenne, pour toutes les prisons de Paris, en y comprenant le dépôt de mendicité, a été :
Elle avait été
De 10,01 de 1819 à 1825.À l’Hôtel-Dieu, d’après M. Bouchardat, elle aurait été
Dans les recherches statistiques sur Paris, M. Villot, en réunissant les décès à domicile à ceux des hôpitaux et hospices, trouve que la mortalité est de :
Si l’on retranche les décès des hôpitaux et hospices, elle est de