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Page:Augustin - Œuvres complètes, éd. Raulx, tome II.djvu/593

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TABLE DES MATIÈRES.




CXXIV. Augustin à Albine, à Pinien et à Mélanie. — Saint Augustin explique à ces illustres chrétiens comment il a été obligé de passer l’hiver sans aller les visiter.
CXXV. Augustin à Alype. — Saint Augustin écrit à son cher collègue de Thagaste au sujet de ce qui se passa dans l’Église d’Hippone, quand le peuple voulut avoir Pinien pour prêtre et sollicita son ordination.
CXXVI. Augustin à Albine, belle-mère de Pinien. — Saint Augustin lui écrit pour rétablir les faits dans leur vérité et pour venger son peuple d’injustes soupçons ; et comme les plaintes d’Albine ne l’avaient pas épargné, il parle de lui-même avec une admirable humilité.
CXXVII. Augustin à Armentarius et à Pauline. — Saint Augustin s’adresse à deux époux qui avaient fait vœu de continence, et les fortifie dans leur pieuse résolution. — Pensées ingénieuses et profondes sur notre passage ici-bas.
CXXVIII. Aurèle, Sylvain et tous les évêques catholiques à Marcellin. — Cette lettre est relative à la célèbre conférence de Carthage, du 1er juin 411 ; elle est comme l’acceptation des conditions et des règlements de l’assemblée.
CXXIX. Aurèle, Sylvain et tous les corps catholiques à Marcellin. — Cette lettre, rédigée par saint Augustin, a aussi rapport à la conférence de Carthage, et va au fond de la question.
CXXX. Augustin à Proba. — Cette belle lettre, adressée à une veuve romaine d’un sang illustre, forme comme un livre, sur la prière.
CXXXI. Augustin à Proba. — Courte réponse à cette illustre romaine.
CXXII. Augustin à Volusien. — Saint Augustin engage Volusien, encore païen, à lire l’Écriture sainte et à lui faire part de ses doutes et de ses difficultés.
CXXXIII. Augustin à Marcellin. — Cette lettre est un mémorable témoignage de la douceur miséricordieuse de saint Augustin à l’égard des hérétiques.
CXXXIV. Augustin à Apringius. — Même esprit de douceur envers les coupables.
CXXXV. Volusien à Augustin. — Volusien rend compte d’une très-curieuse conversation entre païens.
CXXXVI. Marcellin à Augustin. — Marcellin supplie l’évêque d’Hippone de répondre aux difficultés proposées par Volusien.
CXXXVII. Augustin à Volusien. — Admirable lettre de l’évêque d’Hippone, qu’on lira avec profit dans tous les temps.
CXXXVIII. Augustin à Marcellin. — C’est la réponse aux difficultés que Marcellin, de son côté, avait proposées à l’évêque d’Hippone ; elle complète la lettre à Volusien.
CXXXIX. Augustin à Marcellin. — Efforts de saint Augustin pour arracher au glaive de la loi des donatistes coupables.
CXL. Augustin à Honoré. — C’est une grande réponse à cinq questions adressées à l’évêque d’Hippone : 1o sur le sens de ces paroles : « Mon Dieu, pourquoi m’avez-vous abandonné ? » 2o sur la largeur, la longueur, la hauteur et la profondeur dont parle l’apôtre saint Paul dans son Épître aux Éphésiens ; 3o sur les vierges folles et les vierges sages ; sur les ténèbres extérieures ; 5o sur l’incarnation du Verbe. Saint Augustin ajoute une sixième question sur la grâce, pour mieux enchaîner les vérités chrétiennes. Cette lettre forme un beau livre qu’il faut étudier et méditer.
CXLI. Sylvain, primat, et d’autres évêques du concile de Zerta aux donatistes. — Cette lettre établit la vérité sur la Conférence de Carthage, en 411, et rappelle l’ensemble des actes méconnus ou défigurés dans l’appréciation des donatistes vaincus.
CXLII. Augustin à Saturnin et Euphrate. — Saint Augustin adresse de douces paroles à des ecclésiastiques revenus du parti de Donat à l’unité catholique.
CXLIII. Augustin à Marcellin. — Exposition des diverses opinions sur l’origine de l’âme.
CXLIV. Augustin à ses frères de Constantine. — La population de Constantine avait été ramenée à la foi catholique par les soins de saint Augustin ; les principaux de la ville ayant écrit à l’évêque d’Hippone pour lui annoncer cette heureuse conversion et l’engager à venir visiter les nouveaux catholiques, saint Augustin leur répond.
CXLV. Augustin à Anastase. — Le désir du repos. — Ne pas fuir le mal par la crainte de la peine, mais par l’amour du bien. — L’erreur naissante des pélagiens.
CXLVI. Augustin à Pélage. — C’est une petite lettre de simple politesse dont Pélage avait cherché à tirer parti au Concile de Diospolis.