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C. E. CASGRAIN.

un public comme celui de Québec, auquel il paraissait être si utile, le sollicitait de l’accepter. Les services qu’il a rendus au district de Québec et au pays en général dans sa charge, sont à la connaissance de tous, et sont une preuve de l’énergie de son caractère et de l’activité qu’il savait déployer lorsqu’il s’agissait du service public malgré la faiblesse de sa santé et ses souffrances constantes. Sa mort a été, dans l’opinion de beaucoup de personnes, avancée de plusieurs années par les fatigues que lui causèrent les nombreux voyages et déplacements que nécessitait sa charge. M. Casgrain laisse une veuve inconsolable de la perte d’un si digne époux et treize enfants encore en bas âge pour la plupart. »

Extrait du Journal de Québec :

« Monsieur le rédacteur,

« Les nombreux amis de l’honorable C. E. Casgrain apprendront, sans doute avec