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Page:Baillon - Histoire d'une Marie, 2è édition, 1921.djvu/282

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Tu ajouterais, comme s’il existait là un rapport :

— Je suis sûr que Germaine Lévine ne te gâte pas comme moi.

— Oh non ! maman.

— Et malgré cela, tu travailles ?

Il sourirait…

Après, il partirait : « Au revoir, maman. » Chaque fois tu serais un peu triste.

À lire cela, les gens douteraient : « Mari et femme, rien que comme ça ? » Pourtant, ils ne seraient rien que comme ça…

… Alors, un mercredi, il viendrait. Il aurait l’air tout chose. Il t’embrasserait bien fort. Il dirait : « Maman, j’ai fini. Voici mon livre… » D’abord tu regarderais la couverture… Tu lirais : « Histoire d’une Marie… »


Fin.