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Page:Bakounine - Lettres à Herzen et Ogarev, trad. Stromberg, Perrin, 1896.djvu/187

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en société secrète, a pris la résolution de ne pas se soumettre aux exigences de la colonie finnoise d’ici, qui s’occupe beaucoup plus d’intérêts particuliers que de la cause publique.

5) S’il y a des lettres pour moi, m’arrivant de Straube, de Finlande, ou d’ailleurs, je vous prie de me les envoyer immédiatement à Genève, à l’adresse ci-jointe. J’envoie la même prière à Tkhorjevski. Le dernier envoi de Londres à Genève devra être fait le 8 janvier au plus tard. Le 9, il faudra déjà m’envoyer mon courrier à Gênes, poste restante, et, après le 9, à Florence, également, poste restante, toujours à l’adresse de Henri Souli.

6) Herzen doutait aussi du succès de notre entreprise commerciale à Constantinople par voie d’Italie. Écris-moi si tu gardes toujours tes anciennes espérances et si je dois m’efforcer de remplir ta commission comme il était convenu entre nous ?

J’espère, Ogareff, que tu ne tarderas pas à me répondre sur toutes mes questions, ce dont tu obligeras beaucoup votre dévoué

M. Bakounine.


Salut cordial de notre part à Natalia Alexéevna.


Nota. — Nous trouvons, écrit de la main de Bakounine, sur ce fragment de lettre : « À Tkhorjevsky » (Drag.).