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Page:Balzac-Le député d'Arcis-1859.djvu/357

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aller voir une féerie. Naïs, au contraire, encore sous le charme des merveilles qu’elle avait admirées, se mit à faire de la pièce un compte-rendu animé qui montrait à quel point sa jeune imagination en avait été frappée.

En s’en allant avec son mari, madame Octave de Camps lui dit :

— Cette petite est inquiétante ; elle me rappelle Moïna d’Aiglemont. Madame de l’Estorade l’a trop développée ; je ne m’étonnerais pas quand, dans l’avenir, elle lui donnerait beaucoup de souci.


FIN