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Page:Balzac - Le Comte de Sallenauve, Tome I.djvu/152

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— Mon ami, vous êtes le maître, et puisque vous mettez à votre refus tant d’animation, n’en parlons plus ; je dévorerai mon inquiétude.

— Venez-vous, de Camps ? dit M. de l’Estorade, car, pour peu que cela continue, on me chargerait d’aller commander le convoi de l’enfant.

— Mais, mon ami, dit la comtesse en lui prenant la main, est-ce que vous êtes malade pour dire de sang-froid des choses si affreuses ? Je ne reconnais là ni votre patience accoutumée pour mes petits travers maternels, ni même l’exquise