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Page:Balzac - Le Comte de Sallenauve, Tome I.djvu/168

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qu’on suive mes avis, mais je n’aime pas qu’on les suive trop,

— À un autre moment, je vous aurais priée de m’expliquer quelle est donc cette grande débauche que j’ai faite de vos conseils ; mais quand la fatalité a tout réglé, quand il faut à tout prix que M. de Sallenauve disparaisse de notre chemin, à quoi bon discuter le degré de bienveillance jusqu’auquel on devrait aller avec lui ?

— Du reste, reprit madame Octave de Camps, s’il faut tout vous dire, j’arrivais