Page:Balzac - Le Comte de Sallenauve, Tome I.djvu/184

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

dire que j’étais l’ami de M. de Sallenauve, avait très chaudement pris mon parti ; j’avais eu la bêtise de croire que cette bienveillance était le ton général de la maison.

Après cette distinction, qui valait bien celle de madame de l’Estorade, et qui lui rendait comptant la monnaie de sa pièce, Jacques Bricheleau salua cérémonieusement et se mit en devoir de sortir.

Entre madame Octave de Camps et son amie s’était échangé un regard, comme pour se demander s’il fallait ainsi laisser