Aller au contenu

Page:Balzac - Le Comte de Sallenauve, Tome I.djvu/203

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

un fait, pour qu’on en accepte la réalité sans autre explication.

» Veuillez agréer, madame, etc.

Comme madame Octave de Camps achevait sa lecture, le bruit d’une voiture se fit entendre :

— Voilà ces messieurs qui reviennent, dit la comtesse ; montrerai-je cette lettre à M. de l’Estorade.

— Vous ne pouvez faire autrement, répondit madame Octave de Camps. Il y aurait trop à craindre une indiscrétion