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Page:Balzac - Le Comte de Sallenauve, Tome I.djvu/208

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dit M. de l’Estorade en rendant la lettre a sa femme. Je ne ferai certainement rien de ce qu’il me demande.

— Vous avez donc appris sur son compte quelque chose de fâcheux ? dit madame de l’Estorade, tâchant de mettre à sa question l’air de la plus grande indifférence.

— Oui, Rastignac vient de me parler de lettres arrivées d’Arcis, où l’on aurait fait des découvertes très compromettantes.

— Eh bien ! que vous disais-je ? s’écria madame de l’Estorade.