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Page:Balzac - Le Comte de Sallenauve, Tome I.djvu/212

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rade, est cette fâcheuse obligation que nous lui avons.

— Mais, monsieur, s’écria madame de l’Estorade, si par hasard un forçat me sauvait la vie, faudrait-il que je l’eusse dans mon salon ?

— Oh ! chère, dit madame Octave de Camps, vous allez bien loin.

— Du reste, dit le pair de France, il n’y a pas besoin de faire un esclandre, il faut laisser finir les choses en douceur ;